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A
- Recensement
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2. Les
mâts sont généralement en deux parties qu'il faut réunir en
s'assurant de la propreté de chaque élément.
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3.
Attention, Si l'une des deux parties est sale ou encombrée de sable, le mât sera très
difficile à démonter.
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4. Profitons-en
pour établir un inventaire du matériel.
(1) Le wishbone,
(2) la voile dans sa housse,
(3) le mât,
(4) l'embase de mât et une rallonge,
(5) la protection de mât (facultative).
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5. Loïc
vérifie les dimensions de la voile, ce qui va lui permettre d'ajuster la taille de la rallonge du
mât et celle du wishbone.
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6. La voile
a préalablement été enroulée avec soin. Ne surtout jamais la plier!
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7.
Loïc déroule la voile.
C'est l'occasion de revoir ses différentes composantes
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8. Ici la
tétiêre qui va recevoir le haut du mât. Elle est souvent ajustable
par un système de sangle pour s'adapter à la taille du mât. |
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9. Les lattes
sont restées dans leur gousset sans être tendues par leur sangle.
Ceci nous occupera plus tard.
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10. Ici Loïc nous
montre l'oeillet du point d'écoute qui recevra le bout de l'arrière du
wishbone. |
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11. De la même
façon, l'extrémité basse de la voile, le point d'amure recevra le
bout de l'embase de mât.
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12. Certaines
voiles sont équipées de cambers souvent accessibles par le fourreau
grâce à une fermeture éclair. |
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B
- Fixation du mât
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13. Tandis que
Loïc commence à enfiler le mât dans le bas du fourreau, je rappelle
sans vouloir avoir l'air d'insister que tout ces termes sont expliqués et illustrés dans le lexique.
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14. Le passage du
mât dans les cambers est parfois délicat, surtout si la voile est
neuve.
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15. Dans ce cas, il
peut être utile de s'assurer que la latte correspondante n'est pas
tendues. |
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16. Après
vérification, la rallonge de pied de mât est ici inutile et Loïc se
contente donc de rentrer l'embase de mât dans celui-ci. Bien entendu,
une rallonge peut être indispensable pour adapter la longueur du mât à celle
de votre voile.
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17. Autre possibilité, jouer sur la tétiêre si elle est
variable comme vu au 7. Notons que l'embase du mât possède
un bout d'au moins un 1,50 mètre fixé préalablement d'un côté par
un noeud en huit. |
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18. Il s'agit
maintenant de fixer l'embase de mât à la voile par un bout qui va
faire deux ou trois fois la navette entre l'oeillet de la voile et des
poulies intégrées dans l'embase du mât.
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19. Ces quelques tours
vont nous permettrent d'alléger nos efforts au moment où
il faudra tendre la voile. Attention à
ne pas croiser le bout pour qu'il
puisse coulisser librement. |
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20. Tendre
la voile au point d'amure est l'opération qui demande le plus de
force. Si vous avez peur de vous abîmer la paume des mains,
aidez-vous d'un tournevis sur lequel vous entourez l'extrémité du
bout.
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21. Loïc étarque (tire) donc
franchement jusqu'à recourber le haut du mât. D'ailleurs, pour être tout à fait honnête,
Loïc a besoin d'un peu d'aide à ce moment
là. |
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22. Si les noeuds
marins n'ont pas de secret pour vous, sachez juste que Loïc fait une
succession de demi-clefs après avoir bloqué le bout dans un taquet
coinceur de l'embase du mât. Dans le cas contraire, quelques photos
valent mieux qu'un long discours.
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23. Et voici la
première demi-clef qui consiste à passer le bout sous lui-même
après un demi-tour.
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24. Seule la
succession de demi-clefs va véritablement permettre de fixer solidement
la voile sur le mât. |
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25. Il n'est pas
utile de "fignoler" car on risque de devoir intervenir au
point d'amure à nouveau au moment des réglages finaux.
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Prêt pour la suite ?
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